Crédit Social

Comment améliorer notre système économique et social grâce au Crédit Social, qu'importe le parti politique au pouvoir! Démocratiser le capitalisme en faisant de nous tous des capitalistes. Nous sommes des capitalistes volés de notre capital social (bien commun) et de nos dividendes sociaux. Les taxes-impôts sont de la fraude, c'est une conséquence du poison de l'intérêt sur l'argent nouveau qui fait que les pays sont tous endettés pour leur propre production.

mardi 20 mai 2008

http://www.michaeljournal.org/causeries/174-synd-170_GCM_Plans_conjoints_1967_11_25_26_vd_1967_11.mp3

Maisons vendues pour les taxes!
http://www.michaeljournal.org/150Kbps/009-LE-L_Evangeline_web_150Kbps.wmv
Publié par Louis Douglas à 22:25

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Citation du jour

Si l’État calcule avec précision l’incidence de ses actes, il ne laisse pas de choix aux individus intéressés. Chaque fois que l’État peut prévoir les résultats possibles d’une décision sur des gens déterminés, c’est lui qui choisit entre les différents buts envisagés. Si nous voulons donner à chacun sa chance, permettre à tout homme de faire son chemin selon ses idées, nous ne pouvons pas prévoir les résultats qu’ils atteindront. Dans ce cas, nous devons concevoir des règles générales, des lois authentiques (nettement différentes des ordres empiriques) qui peuvent être maniées dans des circonstances inconnues d’avance. En conséquence, leurs effets sur des dessins particuliers, sur des groupes déterminés, restent imprévisibles. (Hayek)
Ô printemps ! Bois sacrés ! Ciel profondément bleu ! On sent un souffle d'air vivant qui vous pénètre et l'ouverture au loin d'une blanche fenêtre. On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux. On a le doux bonheur d'être avec les oiseaux et de voir, sous l'abri des branches printanières, ces messieurs faire avec ces dames des manières. (V. Hugo)









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Les apologistes du travail. - Dans la glorification du "travail", dans les infatigables discours sur la "bénédiction du travail", je vois la même arrière-pensée que dans les louanges des actes impersonnels et conformes à l'intérêt général : la crainte de tout ce qui est individuel. On se rend maintenant très bien compte, à l'aspect du travail - c'est-à-dire de ce dur labeur du matin au soir - que c'est là la meilleure police, qu'elle tient chacun en bride et qu'elle s'entend vigoureusement à entraver le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance. Car le travail use la force nerveuse dans des proportions extraordinaires, et la soustrait à la réflexion, à la méditation, aux rêves, aux soucis, à l'amour et à la haine, il place toujours devant les yeux un but minime et accorde des satisfactions faciles et régulières. Ainsi une société, où l'on travaille sans cesse durement, jouira d'une plus grande sécurité : et c'est la sécurité que l'on adore maintenant comme divinité suprême.
  • Vers Demain articles
  • Sous le signe de l'abondance
  • Au-dessus des partis politiques
  • Une finance saine et efficace

“La plupart des gouvernements européens, dans leur politiques dites, par antiphrase, “de l’emploi”, s’obstinent à lancer sur l’eau un bateau trop lourd pour flotter. Après quoi, ils se ruinent en remorquages, renflouages, sauvetages pour tenter de remonter le navire à la surface et dédommager les naufragés. La pire des cécités est la cécité volontaire. Non seulement on refuse de prendre acte des réussites du libéralisme quand il réussit, mais on lui impute des malheurs auxquels il est étranger.”
“Des dizaines d’années avant l’apparition des premiers partis communistes et même des premiers théoriciens socialistes, ce sont les libéraux du XIXe siècle qui ont posé, avant tout le monde, ce que l’on appelait alors la “question sociale” et qui y ont répondu en élaborant plusieurs des lois fondatrices du droit social moderne. C’est le libéral François Guizot, ministre du roi Louis-Philippe qui, en 1841, fit voter la première loi destinée à limiter le travail des enfants dans les usines. C’est Frédéric Bastiat, cet économiste de génie que l’on qualifierait aujourd’hui d’ultralibéral forcené ou effréné, c’est lui qui, en 1849, député à l’Assemblée législative intervint, le premier dans notre histoire, pour énoncer et demander que l’on reconnaisse le principe du droit de grève. C’est le libéral Émile Ollivier qui, en 1864, convainquit l’empereur Napoléon III d’abolir le délit de coalition, ouvrant ainsi la voir au syndicalisme futur. C’est le libéral Pierre Waldeck-Rousseau qui, en 1884 (…) fit voter la loi attribuant aux syndicats la personnalité civile.”
“Dans une société où les inégalités résultent non de la compétition ou du marché, mais décisions de l’État, le grand art économique consiste à obtenir de la puissance publique qu’elle dévalise à mon profit mon voisin, si possible sans que celui-ci sache à qui va la somme qu’on lui prend.”
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  • Le robuste carcan monétaire
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  • La Grande Relève-économie distributive-Jacques Duboin
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